[Je viens de déscendre du bus. La conversation que j'ai eu avec cette sois disante Claire est si étrange Et puis cette plaie qui disparait juste comme sa: WHA c'était bizzar! Mais c'était surtout le fait qu'on est parlées alor que je ne l'a connais ni d'Eve ni d'Adam. Depuis la mort de mes parents je me suis isolée, perdue mes meilleurs amis, mon petit copain; tout enfaite. Au lieu d'"exprimrer ma peine aux autres", petite phrase de la psy de la fac, je me suis renfermée et je les ai à moitier chassés. C'est vrai qu'il me manque, quand j'ai besoin de parler ou de rire mais j'ai toujours sù me débrouiller seule alors pourquoi sa changerais? J'ai beau être encombrée de toutes mes affaires de cours j'arrive à les trimballer jusqu'a à un banc ou j'y m'assied. Il n'y a personne appart deux femmes d'une trentaine d'année chacune. Mon regard se tourne ensuite vers le ciel, il est bleu et sans un seul nuage, comme ces trois dernières semaines. Je restais fixéé sur la vaste étandu, moi- même ne sachant dans quel but, si triste et en colère à la fois. Tout d'un coup il y eût une petite ouvertue juste au dessus de moi d'où une minuscule goute de pluie y sortit et s'écrasa sur ma joue et sans que j'ai le temps de l'essuyer de mon visage; la pluie battait son plein. Je redresse la tête très soudainement, les deux jeunes femmes avaient l'air très éttonné de ce soudain changement de temps. Moi je l'étais plus. Je m'habituais à ce "pouvoirs". Mais sa va il est cool, quoi de mieux que de pouvoirs contrôler la météo, les tremblements de terre et provoquer des incendie qui amettent les pompier? C'est pas géniale?! C'était sencé être ironique. Bon sa y est je me lasse déjà de cette endroit, mon appartemennt est à trentee seconde et j'ai besoin d'une très longue sièste. Genre 365jours]